Michel Collon - La France au Mali : repérer les médiamensonges

Publié le par Munsa Nzinga Kandombe

En guerre contre le terrorisme, vraiment ?

Pourquoi les médias ne parlent-ils pas des ressources naturelles convoitées, des multinationales françaises qui se construisent des fortunes dans cette région, de la misère dont elles sont responsables ?

Pourquoi nous cache-t-on les véritables cibles : Mali, Niger, Algérie et l'Afrique en général ?

Et le Qatar, allié de Paris, qui arme les islamistes maliens, qu'est-ce que cela cache ? Ou bien part-on en guerre pour des intérêts économiques et stratégiques soigneusement cachés ?

UNE GUERRE CONTRE LES PAYS AFRICAINS

KINSU KI MATE NUA YE NUA

Knowledge increases when we share it

La Connaissance s'accroît lorsqu'on la partage

(Sagesse Kongo)

Citation :

Il n'y a pas pour Notre Peuple à choisir entre des Seigneurs coupeurs de bras et de pieds le Coran à la main et des Maîtres maniant le bâton, le fouet, les armes et qui exploitent, la Bible à la main, jusqu'à ce que mort s'en suive. Cette fatalité piégeuse doit être absolument rejetée. Car, aussi bien les premiers que les deuxièmes, de par l'histoire et sous nos yeux, ont démontré et démontrent quotidiennement l'affection qu'ils ont pour le peuple Noir.

La seule voie pour être libre est donc d'accepter de payer nous-mêmes le prix de cette liberté. Aussi insupportables, aussi durables que les atrocités des uns ou des autres puissent sembler, il n'y a pas de Libération lorsqu'on quitte un Maître pour un Autre. Car, un peuple qui invite une "Civilisation Supérieure" à le libérer n'a comme libération qu'une nouvelle servitude. Les peuples qui se sont affranchis de leurs chaînes d'où qu'elles viennent sont ceux qui se sont sacrifiés pour se les ôter. Ceux, en revanche, qui ont confié cette mission, soit par ignorance, soit par désorganisation, soit même par la peur de s'assumer, à d'autres se sont érigés des Maîtres encore plus terribles étant entendu que le nouveau régime de servitude que ces libérateurs établissent se révèle encore plus terrible quoique apparemment plus doux que le précédent. Si bien qu'à terme, l'échéance retardée consistant au peuple victime à déléguer sa défense aux autres, lui revient et là c'est à lui de jouer ou jamais.

Quiconque contracte donc une dette de libération se vend et vend tous ses biens pour la payer. Telle est La Loi de l'Histoire

 http://lajuda.blogspot.fr/2013/01/la-charia-ou-la-pax-occidentalis-quel.html?spref=fb

Publié dans Objectivité

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article